

Ici vivent mes citations et essais,
petites lumières qui poursuivent leur voyage au-delà de la page.
♦ La littérature formait autrefois les esprits — surtout la poésie.
Elle façonnait le monde intérieur d’une personne, sa spiritualité.
Aujourd’hui, nous vivons à une époque qui glorifie l’ignorance,
et la majorité effrayante est gouvernée par la médiocrité.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur le cinéma :
Il n’est pas nécessaire d’établir des limites rigides.
Un cadre est une peinture, une histoire est un scénario.
Le moment présent ne peut être mesuré.
La liberté est le nouveau langage.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur la perception :
Les angles au cinéma sont aussi inventés
que la relation entre les objets et l’espace dans la peinture.
En fin de compte, tout est ouvert au débat —
et peut être remodelé, recadré, réimaginé…
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur la liberté intérieure :
Ne plonge jamais en toi-même — il y a tant de chemins vers l’extérieur.
L’un d’eux est le monde du cinéma.
C’est la liberté du moi intérieur, l’ego de l’âme.
Les films sont quelque chose de nouveau : histoire, émotion, liberté, inspiration…
C’est quelque chose que certains médecins ne prescrivent pas.
Mais c’est un nouveau Moi.
— Nadiya Karahayeva
♦ Un livre est quelque chose d’intermédiaire —
entre les mots et la fiction, entre le passé et l’avenir,
entre les images et la frontière de la réalité.
Il y a tant à dire sur l’écriture.
Mais ce qui en sort est toujours quelque chose de nouveau…
Une autre nuit vécue, une autre vie, une autre éternité.
— Nadiya Karahayeva
♦ Il ne faut pas déformer l’art pour l’argent ou la famille,
ni pour d’autres faiblesses et caprices du “moi”.
Il existe d’autres moyens — ils sont nombreux et bien plus simples.
Dans l’art, il faut seulement continuer à évoluer, créer et inventer.
— Nadiya Karahayeva
♦ Extrait de “L’atelier des rêves”
L’âme traverse d’innombrables états.
Chacun est un petit monde distinct.
Un jour, dans notre lointaine enfance,
beaucoup d’entre nous ont ressenti pour la première fois
la bonté, l’amour, le bonheur, le courage, la sincérité.
La liste pourrait continuer à l’infini.
Et tout a commencé par un conte.
— Nadiya Karahayeva
♦ La sagesse ne dépend pas du temps.
Son sens ne s’efface pas avec les années.
Un livre est l’éternité.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur l’enfance et le caractère :
Je ne sais pas, peut-être cela semble étrange,
mais l’enfance a sa propre force.
Le caractère — le moi — se forme selon le lieu et la société.
Et tandis que la société n’affecte que le subconscient,
la personnalité naît de l’environnement.
Dans cet espace vivent des choses, des caractères, des destins.
Si un enfant est un génie,
il est capable de révéler la nature de l’essence.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur le livre “L’atelier des rêves” :
“L’atelier des rêves” n’est pas un livre ordinaire.
C’est du mysticisme vu à travers les yeux d’une cinéaste.
Chaque chapitre est comme un scénario — chacun pourrait devenir un film.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur les rêves :
Les images et les visions dans les rêves peuvent expliquer tant de choses.
Les rêves sont le passé et l’avenir,
des états et des pensées, le sublime et le réel.
Il suffit de s’arrêter et de réfléchir.
— Nadiya Karahayeva
♦ Sur les rêves et la réalité :
“L’atelier des rêves” est un mélange de réalité et de rêves.
Combien de fois, dans les rêves, pouvons-nous revenir, chercher et ne pas trouver —
ou trouver quelque chose, mais pas ce que nous espérions voir.
— Nadiya Karahayeva
♦ Le véritable souffle de la vie —
c’est l’inspiration.
— Nadiya Karahayeva
© Tous droits réservés. Protégé par Safe Creative.

