
Revue culturelle — Vision IF
Archives culturelles officielles : Diya Cara — Littérature post-cinématographique, BnF, Ministryio de Cultura , OIF

Une archive soigneusement sélectionnée documentant les reconnaissances officielles, les dialogues culturels et les correspondances artistiques entourant les œuvres de Diya Cara — présentée par IF Vision.
Les premières inscriptions aux archives confirment la reconnaissance croissante de l'œuvre de l'auteure à travers l'Europe. Le récit autobiographique épique, « La vida cinematográfica o los diarios que no se quemaron » (Littérature post-cinématographique), a reçu la confirmation officielle de sa présentation par le Ministère espagnol de la Culture et des Sports à Madrid. Cette reconnaissance formelle de sa valeur culturelle fait suite à son inscription auprès du Gouvernement des Canaries et à sa reconnaissance culturelle. Le livre, qui relate l'histoire personnelle de l'auteure, notamment sa vie dans la ville bombardée de Jersón (Kherson), à Kiev et dans la « ville nucléaire fermée », est un document essentiel de la mémoire face au conflit et à l'influence de Madame J. L'auteure, Diya Cara, affirme que l'œuvre n'a pas vocation à rivaliser, mais à créer un dialogue avec la mémoire, l'art et une histoire qui refuse de sombrer dans le chaos.
La portée internationale de l'œuvre de Diya Cara est confirmée par des institutions françaises et internationales. Son ouvrage, « L'atelier des rêves – édition artistique », a reçu la mention « dépôt légal » de la Bibliothèque nationale de France ( BnF ). Ce dépôt symbolise la continuité entre mémoire, art et lumière, et se veut un geste de préservation, non une simple formalité. Parallèlement, sa candidature au prestigieux Prix des Cinq Continents de la Francophonie (OIF) a été officiellement confirmée. Ce prix littéraire célèbre la diversité linguistique et créative à travers 88 pays, consacrant ainsi la littérature post-cinématographique comme un véritable mouvement culturel mondial.

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BnF — Bibliothèque nationale de France, Dépôt légal 2025
Ces reconnaissances officielles d'institutions culturelles — du gouvernement des Canaries à la Francophonie — affirment la continuité et la valeur culturelle de l'œuvre de Diya Cara, *Post-Cinematic Literature*, créée en 2011.
Enraciné dans son noyau éthique , le mouvement se présente comme un acte de résistance poétique — un dialogue entre l'art, la mémoire et l'esprit humain à l'ère de la guerre et de l'IA générative.
Comme l’auteure l’écrit elle-même : « Chaque œuvre est un pont — entre les pays, entre les âmes, entre les moments qui refusent de disparaître. »